L’entreprise alimente à dessein le sentiment d’insécurité des usagers pour faire son beurre sur les craintes.
Amazon a bien compris deux choses – entre autres – : la peur fait vendre et on est jamais aussi bien servi que par soit même. Conclusion, pour populariser ses dispositifs de surveillance aux Etats-Unis, l’entreprise américaine a mis en place un service d’information spécialisé sur les faits divers. En mai, Amazon a publié une annonce pour recruter un·e journaliste chargé·e d’éditer des «alertes contenant des informations sur la criminalité». Qualifications requises : avoir « un talent pour le storytelling engageant et à fort impact » et « une connaissance poussée et nuancée de la criminalité américaine ».
Lire la suite dans le hors-série Causette n°10 de l’été 2019